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mardi 30 décembre 2014
Les Urgences
Les urgences sont le service d'un hôpital qui s'occupe de recevoir les malades et les blessés qui se présentent d'eux-mêmes, ou qui sont amenés par les services de secours.
Dans la pratique, il existe tout un réseau mis en œuvre pour parer aux urgences médicales (dans toute la dimension bio-psycho-sociale du terme)
Comme tous les services constituant les fondements des "services publics" ils sont l'aboutissement de trois éléments qui vont déterminer son fonctionnement et son évolution : les conceptions philosophiques et scientifiques de l’urgence, les composantes socio-économiques (qui expliquent la nécessité de telles structures d’urgence et en limitent le coût) et l’organisation de ces structures préexistantes, leurs ressources, humaines et matérielles, et leur mode de fonctionnement.
Malgré des réflexions séculaires (Hippocrate essayait déjà de définir l’urgence au Ve siècle avant Jésus-Christ), il était intéressant de constater « l’absence de définition médicale ou administrative du terme urgence ».
L'urgence médicale peut cependant se définir comme: « La perception de toute situation empirant rapidement, ou susceptible de le faire, sans intervention médicale ou même avec ».
Dans la pratique des urgences pré-hospitalière, l’hétérogénéité du concept d’urgence
s’explique par sa variation selon quatre critères principaux :
- le flux des situations considérées comme urgentes : les priorités ne seront pas les mêmes selon que nous nous trouverons en face d’un cas isolé ou d’un afflux massif de blessés ;
- le type de problème rencontré : médicaux (« urgence vraie », tel un polytraumatisme, ou « urgence ressentie », à l’instar de fortes palpitations cardiaques) et/ou médico-sociaux (personnes âgées, peu insérées socialement, toxicomanes ou en état de détresse psychologique) ;
- la nécessité de prodiguer des soins techniques de qualité avec précocité : des cas de détresses graves (qui « ne représente qu’un faible pourcentage », malgré la racine grecque du terme urgence : urgens, signifiant pressée) ;
- la possession par le service mobile ou la proximité de matériels ou de structures adaptés à la situation (tel un plateau médico-technique).
Ainsi, les situations urgentes rencontrées sont très complexes. Au regard de la performance des nouvelles méthodes médicales de soins vis-à-vis du pronostic vital, la composante technique de la prise en charge de ces situations efface souvent le caractère unique de chacune d’elle.
Le « 112 » devient en juin 2008 le n° unique d’appel d’urgence - gratuit - en Europe (accessible de partout vers un opérateur qui traite l’appel (dont en anglais éventuellement dans 16 pays) en direct ou le réoriente vers un service d’urgence opportun. Ce numéro est accessible des téléphones fixes ou mobiles (même sans carte SIM dans le téléphone portable et même sans crédit dans le cas d'une carte prépayée) ou des cabines téléphoniques (même sans carte téléphonique).
vendredi 26 décembre 2014
Le son d'avoine
Avant utilisé pour les chevaux, le son d’avoine est devenu notre allié dans la lutte contre les kilos grâce à ses qualités de "mange graisses".
Encore peu connu il y a quelques années, le son d’avoine est devenu aujourd’hui un ingrédient indispensable aux alimentations spéciales minceur et aux régimes santé.
Avec des effets prouvés sur le taux de cholestérol en raison de sa teneur en béta-glucane, une fibre soluble hypocholestérolémiante, et des bienfaits reconnus pour affiner la silhouette, le son d’avoine, très médiatisé à travers le régime Dukan, semble plein de promesses…
Pris régulièrement, le son d'avoine possède des vertus amaigrissantes, selon le Dr Pierre Dukan, nutritionniste.
Pourquoi le son d'avoine aide à mincir ? Par sa double action, rassasiante et satiétogène. Riche en fibres solubles et en pectine, il possède la propriété d'absorber 30 fois son volume d'eau. En le consommant pendant les repas tout en buvant suffisamment, ses fibres se solubilisent, s'engorgent d'eau dans l'estomac et procurent un rapide rassasiement mécanique.
Autre atout : son action anti stockage calorique au niveau de l'intestin grêle. La haute viscosité du son le fait coller à tout ce qui l'entoure, notamment les nutriments et calories. Résultat, il les empêche de passer dans le sang et les entraîne avec lui directement dans les selles.
mardi 23 décembre 2014
Prévention des Fêtes
En ces moments de fêtes, il vaut mieux parfois être plus prudents que d’habitude.
Les numéros de téléphones utiles
Médical - 100 Police - 101 Pompiers - 100 Général – 112
N’oubliez pas de garder un Bob au volant et qu’il y a, pendant cette période de fêtes, beaucoup plus de contrôles routiers face à la consommation d’alcool et de drogues.
vendredi 19 décembre 2014
Lexique : Carminatif
Un aliment carminatif, du latin « carminare » qui signifie « carder la laine », transformé en latin médiéval en « carminativus » signifiant « disperser en grattant », d'où « purifier, nettoyer en éliminant », est un aliment qui favorise l'expulsion des gaz intestinaux, tout en réduisant leur production.
Parmi les plantes carminatives, on peut citer le gingembre, l'ail, la menthe poivrée, le fenouil, l'aneth odorant, l'anis vert, le basilic, la cardamome, le cerfeuil, la coriandre, l'estragon, l'hysope, la marjolaine, la noix de muscade, l'oignon, la sarriette, la sauge, le thym, l'angélique sauvage…
La gastronomie traditionnelle associe fréquemment ces plantes aux légumes secs tels que les haricots.
La phytothérapie associe les plantes cholérétiques et cholagogues (respectivement : qui favorisent la production de bile par la vésicule biliaire ; qui favorisent l'excrétion de la bile) aux plantes carminatives afin de soulager des troubles gastriques, notamment la constipation.
Parmi les plantes carminatives, on peut citer le gingembre, l'ail, la menthe poivrée, le fenouil, l'aneth odorant, l'anis vert, le basilic, la cardamome, le cerfeuil, la coriandre, l'estragon, l'hysope, la marjolaine, la noix de muscade, l'oignon, la sarriette, la sauge, le thym, l'angélique sauvage…
La gastronomie traditionnelle associe fréquemment ces plantes aux légumes secs tels que les haricots.
La phytothérapie associe les plantes cholérétiques et cholagogues (respectivement : qui favorisent la production de bile par la vésicule biliaire ; qui favorisent l'excrétion de la bile) aux plantes carminatives afin de soulager des troubles gastriques, notamment la constipation.
mercredi 17 décembre 2014
L'Endocrinologue
L'endocrinologie est la science de la médecine qui étudie les hormones.
Son nom signifie : la science (logos) de la sécrétion (crine) interne (endo).
Elle étudie de très nombreux phénomènes physiologiques, car les hormones interviennent dans de nombreuses fonctions chez tous les organismes dont l'Homme :
La nutrition : Avec des hormones régulatrices de la glycémie comme l'insuline et le glucagon,
la leptine qui régule les réserves de graisses dans l'organisme,
la ghréline qui stimule l'appétit, et la PYY-36 qui donne une sensation de satiété pendant plusieurs heures.
La croissance, avec les différentes hormones de croissance.
La reproduction : la puberté, mais aussi les cycles menstruels de la femme, la grossesse et la lactation (fabrication de lait).
la régulation de la température corporelle, avec les hormones thyroidiennes.
la régulation des cycles circadiens avec la mélatonine.
Chez certaines autres espèces animales, les hormones ont encore d'autres effets : le changement de sexe chez certains poissons, le changement de comportement chez les abeilles, la mue chez certains insectes (régulée par l'ecdysone)...
Les hormones sont un moyen pour notre corps de communiquer des informations à travers tout l'organisme, grâce principalement à des molécules transportées par le sang.
lundi 15 décembre 2014
Les nappes d'eau souterraines
Une nappe d'eau souterraine est une eau contenue dans les interstices ou les fissures d'une roche du sous-sol qu'on nomme aquifère. Seule l'eau libre, c'est-à-dire capable de circuler dans la roche fait partie de la nappe. Ce type de réservoir peut être exploité et peut approvisionner les réseaux de distribution d'eau potable, comme c'est le cas dans la majorité des communes françaises.
Le rapport de la nappe avec l'aquifère est le même qu'entre le contenu et son contenant.
Les nappes peuvent être contenues dans des aquifères de type poreux (sables, craie, graviers, grès, scories volcaniques, etc.)ou dit fissurés : l'eau est contenue et circule dans les failles, fissures ou diaclases de la roche (calcaires, granites, coulées volcaniques, etc.) En milieu karstique la roche peut présenter des conduits et grottes dans lesquels l'eau peut circuler beaucoup plus vite que dans les autres types d'aquifères.
Nappe libre :
Nappe en contact direct avec l'atmosphère, via une zone non saturée en eau.
Nappe fossile :
C'est une nappe qui ne se renouvelle plus, depuis un temps plus ou moins long (jusque plusieurs milliers d'années). Ces nappes sont exploitées dans les milieux désertiques. Dans ce type de cas, elles sont vouées à un épuisement inévitable.
Nappe captive :
Une nappe captive est une nappe généralement profonde et située entre deux couches imperméables. Elle est entièrement saturée d'eau sous pression. Elle jaillit lorsque l'on fait un forage et c'est ce qu'on appelle un puits artésien.
Surveillance des nappes :
Dans des fins de contrôle de la qualité de l'eau ou de surveillance des pollutions, il peut être nécessaire de prélever l'eau des nappes. Afin que les échantillons prélevés soient représentatifs, l'eau doit provenir du cœur de l'aquifère. On fait alors appel à des puits nommés piézomètres formé d'une crépine qui descend jusqu'au fond de la nappe.
Pour plus d'informations ou pour prendre rendez-vous, prenez contact : http://therapie-douce.lescigales.org
mercredi 10 décembre 2014
La Lampe Fluorescente
La lampe fluorescente, appelée également lampe fluorescente compacte (LFC) ou plus simplement lampe fluo-compacte, est une adaptation du tube industriel à un usage domestique. C'est un tube fluorescent émettant de la lumière, dont le tube est miniaturisé, plié en deux, trois ou quatre, ou encore enroulé, doté d'un culot contenant un ballast électronique.
Elles ont les mêmes avantages que les tubes fluorescents linéaires, à la différence près que le tube n'est souvent pas interchangeable.
Avantages :
La lampe à fluorescence présente plusieurs avantages par rapport à la lampe à incandescence classique :
- Un meilleur coefficient de performance : la lampe à incandescence a une efficacité de 14 à 25 lumens par watt, alors que la lampe fluorescente a une efficacité de l'ordre de 60 à 70 lumens par watt (ainsi une lampe fluorescente de 11 W produira le même éclairage qu'une lampe à incandescence de 40 à 60 W)
- Une durée de vie de six à quinze fois plus longue que la lampe à incandescence3 (soit 6 000 à 15 000 heures contre 1 000 heures). Toutefois, les durées de vie de la lampe à incandescence dépendent des choix faits par les producteurs lors de la conception ; il est assez facile de réaliser des ampoules à filament qui durent plusieurs années voire plusieurs décennies...
- Ainsi, bien que le prix d'achat soit supérieur à celui d'une lampe à incandescence, ses performances élevées en font un produit attractif à l'usage dès le premier achat pour le particulier. À l'échelle d'une nation, le bénéfice énergétique est important.
l'échauffement étant réduit, les risques de dégâts dus à la chaleur sont réduits proportionnellement (incendie, déformation des luminaires, etc.)
choix de la température de couleur
Inconvénients :
Les inconvénients des lampes basse consommation sont :
- Ces lampes sont particulièrement polluantes pour l'environnement en cas de rejet non contrôlé ou de casse à cause du mercure qu'elles contiennent. Elles sont considérées comme des déchets dangereux et doivent faire l'objet d'un recyclage spécifique.
- Elles sont peu adaptées à un usage extérieur, notamment en cas de températures négatives.
- Ces lampes ne sont pas forcément adaptées à certains contextes d'utilisation où le risque de bris est important (par exemple, les baladeuses) du fait que leur destruction accidentelle pourrait induire un risque pour la santé.
- L'allumage et l'extinction trop répétitifs de la lampe diminuent la durée de vie de celle-ci.
- Le rendu des couleurs (IRC), de l'ordre de 85, est moins bon que celui d'une lampe incandescente. Certaines couleurs sont déformées, car le spectre de la lumière n'est pas complet. Par exemple, le rendu de la couleur de la peau est altéré. Mais il existe des ampoules dites « lumière du jour » qui ont un bon rendu colorimétrique, mais rarement disponibles dans le commerce courant.
- En raison de l'absence quasi généralisée de circuits correcteurs de facteur de puissance dans la partie redresseur des ballasts électroniques incorporés dans leurs culots, ces lampes absorbent un courant très déformé, conduisant à un taux de distorsion harmonique pouvant atteindre 150 % et un facteur de puissance très inférieur à l'unité (de l'ordre de 0,5).
- Coût énergétique de fabrication bien supérieur à celle d'une lampe à incandescence notamment à cause du ballast dont cette dernière n'est pas pourvue.
- Le flux lumineux est alternatif à la fréquence double de celle du courant d'alimentation, comme pour les tubes fluorescents droits. Cet inconvénient peut produire une gêne oculaire, pouvant aller chez certains sujets sensibles jusqu'à la migraine.
- L'allumage répétitif de la lampe augmente la consommation d'électricité, car comme pour le tube fluorescent, c'est l'allumage qui nécessite le plus d'énergie. Cette lampe, contrairement au tube fluorescent choisi pour son moindre coût énergétique par les entreprises le laissant toujours allumé le temps du travail, est donc le plus souvent inadaptée aux besoins des résidences privées.
- Pour la majorité des lampes commercialisées, impossibilité d'utiliser un variateur de puissance.
- Les dimensions (diamètre extérieur et longueur) sont souvent différentes d'un fabricant à l'autre, et très souvent non compatibles avec les luminaires conçus initialement pour les ampoules à incandescence.
- Montée en puissance lumineuse souvent très lente après la mise sous tension (plusieurs dizaine de secondes pour obtenir 80 % de la puissance finale).
- Le spectre n'est pas lisse et présente des pics. Par conséquent la lumière produite ne semble pas confortable.
Comparaison des coûts :
Leur prix, comparé à celui des lampes fluorescentes classiques, n'est plus élevé comme avant.
Il a fortement diminué et on en trouve facilement de marque connue en 2011 aux alentours de 1 ou 2 euros la lampe de 15 W (équivalent lampe à incandescence de 60 W).
Un tel prix semble donc un investissement rentable : leur durée de vie est supérieure à celle des ampoules à filament (dont la durée de vie est souvent inférieure à1 000 heures) et consomment quatre à cinq fois moins d'électricité. Le retour sur investissement varie toutefois selon les performances plus ou moins avancées du modèle considéré.
EDF estime que les lampes basses consommation reviennent 2,5 fois moins cher que les lampes classiques en fonctionnement. Le retour sur investissement est bien réel et rapide ; il varie toutefois selon les performances plus ou moins avancées du modèle considéré.
À ce jour, on ne trouve pas de bilan énergétique complet (tenant compte de la fabrication et du recyclage) des lampes fluocompactes par les fabricants ou dans d'autres éditions touchant l’environnement, l’énergie etc. La fabrication d'une lampe fluocompacte consomme plus d'énergie que la fabrication d'une ampoule incandescente (mais elle dure plus longtemps), sans parler des produits polluants utilisés et donc de son recyclage. D'autre part, l'utilisation des ampoules dans les locaux d'habitation se faisant à environ 85 % du temps en période de chauffage, les kWh économisés dans l'éclairage doivent être compensés par le chauffage pour maintenir la température souhaitée. L'économie réelle est donc en pratique souvent illusoire surtout en cas de chauffage électrique. Le bilan énergétique réel est donc assez médiocre eu égard à la dégradation de confort visuel et des risques pour la santé et l'environnement imposés par cette technologie.
Pour plus d'informations ou pour prendre rendez-vous, prenez contact : http://therapie-douce.lescigales.org
vendredi 5 décembre 2014
Une aide en cas de trouble psychologique
Un choc ou un traumatisme sont des choses qui sont parfois, voir même souvent, difficile à vivre et qui peut nous apporter des blocages dans notre façon d’être et d’évoluer, voir des répercutions sur différentes parties de notre corps.
Le but de la thérapie énergétique est un travail qui permet le nettoyage des tensions et des mémoires au niveau du corps, vous permettant de retrouver une vie normale et ainsi progresser dans votre vie.
Vous avez vécu, vous n'oublierez pas votre traumatisme, mais par le soin énergétique, vous vous sentirez plus soulagée par rapport aux blocages que celui-ci aura provoqué en vous.
Cette thérapie n'est pas un traitement médical mais un accompagnement ou un travail en synergie avec celui-ci.
En aucun cas, arrêter votre traitement médical sans l’avis d’un médecin.
Pour plus d'informations ou pour prendre rendez-vous, prenez contact : http://therapie-douce.lescigales.org
mercredi 3 décembre 2014
J'ai vécu un choc, un trouble psychologique
Le traumatisme psychique (ou psychotraumatisme) est un terme désignant un type de dommage causé à la psyché après un événement traumatisant. Lorsque le traumatisme conduit à un trouble de stress post-traumatique, les dommages peuvent impliquer des changements chimiques cérébraux, changeant la réponse de l'individu à un futur stress.
Un événement traumatisant peut inclure une seule situation ou un ou plusieurs événements longs et répétés, qui peuvent complètement submerger la capacité de l'individu à intégrer les idées et émotions inculquées lors de cette expérience. Le traumatisme psychique peut conduire à de sérieuses conséquences négatives à long terme.
Le traumatisme peut être causé par une variété d'événements, mais il en existe que quelques aspects communes. Il y a fréquemment une violation des idées reçues de l'individu concernant le monde et des droits de l'homme, mettant ces individus dans un état de confusion extrême et d'insécurité.
Le traumatisme psychique peut s'accompagner d'un traumatisme physique. Les causes et dangers typiques du traumatisme psychique peuvent inclure - abus sexuel, harcèlements, violence conjugale, endoctrinement, victime de l'alcool, menace ou témoin d'un événement marquant, particulièrement durant l'enfance. Des événements naturels tels que les séismes et éruptions volcaniques, les guerres ou autres violences aggravantes peuvent également contribuer à un traumatisme psychique. Un exposition à long terme à des situations telles que la pauvreté ou autres formes d'agression, comme les agressions verbales, peuvent être traumatisantes.
Cependant, de différents individus peuvent réagir différemment aux événements similaires.
Un individu peut faire l'expérience d'un événement qui lui serait traumatisant alors qu'un autre individu peut ne pas souffrir d'un traumatisme lors du même événement.
Il existe aussi des formes de traumatisme plus courantes et que chacun a pu expérimenter. Par exemple l'accouchement (femme et enfant), ou encore les besoins naturels ou les évolutions physiologiques au cours de la vie d'un individu.
Lorsqu'il y a eu traumatisme psychique, des troubles peuvent apparaître de manière transitoire ou durable.
Pendant l’événement traumatique, le corps réagit : c’est la réaction très courte d’immobilité ou « freezing » du système parasympathique (sidération cognitive, affective et motrice), puis celle de fuite/combat du système sympathique (tachycardie, hyperventilation) pouvant se manifester par des comportements d'agitation, fuite panique, réactions mimétiques, voire des manifestations névrotiques (crise hystérique, phobie) ou psychotiques (délires, désorientation) chez des sujets prédisposés.
Une fois l’événement terminé, survient la phase de réaction du stress aigu (agitation, angoisse, souvenirs intrusifs, absence d’émotions…). Ce sont des réactions normales et naturelles après une expérience traumatique.
Les séquelles à long terme du trauma psychique consistent essentiellement en une dissociation binaire généralisée de la pensée et du comportement, qui fait osciller ceux-ci entre deux excès contraires, ce qui amène à la fois à des dichotomies cognitives radicales ( pensée binaire ou manichéenne ), et à des dissociations comportementales et pulsionnelles (qui sont prises pour une ambivalence constitutionnelle). Cela se traduit en clinique par des alternances ou alternatives de type impulsion / inhibition, auto-obligation / autointerdiction, compulsion irrépressible / blocage incoercible, etc...L'usage normal (adapté et auto-régulé) de la pulsion est désormais exclu ou impossible. La capacité à se défendre (l'usage du "non") étant perdue, c'est le corps qui dit non et qui refuse. C'est le symptôme qui est chargé de traduire la souffrance psychique ( principe de la somatisation). L'"incapacité à" de l'inhibition (névrose) est donc en réalité une "capacité à ne pas" (agir), tandis que réciproquement l'"incapacité à s'empêcher de" , qui caractérise l'impulsivité, est en réalité une "capacité à ne plus (subir)".
Ceci est particulièrement vrai des traumas sexuels infantiles (incestueux ou extrafamiliaux), qui sont responsables de l'immense majorité des symptômes d'inhibition, de compulsion et de perversion sexuelles, observés chez l'adulte, qu'il est possible de rattacher causalement au geste ou à l'acte de l'abuseur dans la plupart des cas.
Pour plus d'informations ou pour prendre rendez-vous, prenez contact : http://therapie-douce.lescigales.org
lundi 1 décembre 2014
Utile en cas de maladie contagieuse
En cas de maladie contagieuse, il est bon de protéger les autres.
Utiliser en diffusion atmosphérique un mélange d'huile essentielle de citronnier mélangée à de l'huile essentielle de mandarinier. Le citron va servir à assainir l'atmosphère de la pièce et le mandarinier aidera à garder calme et détente.
De l'huile essentielle de ravintsara peut aussi être utilisé en extérieur, en versant deux gouttes sur les poignets.
Si vous récoltez quand même les symptômes de la personne malade, n'hésitez pas à consulter votre médecin.
Pour plus d'informations ou pour prendre rendez-vous, prenez contact : http://therapie-douce.lescigales.org
vendredi 28 novembre 2014
Cosmétique : Votre huile de massage sensuelle
Cosmétique : Votre huile de massage sensuelle
Comme huile de massage sensuelle, avec un agréable parfum et tout à fait comestible, l'huile de macadamia pur est idéale pour ce contact.
De plus, elle a un petit goût de noisette qui ne laisse pas indifférent.
Pour plus d'informations ou pour prendre rendez-vous, prenez contact : http://therapie-douce.lescigales.org
lundi 24 novembre 2014
Le Poireau
Poireau est un terme qui désigne plusieurs plantes du genre Allium dont Allium polyanthum, le poireau de vigne. Cependant, la plupart du temps, c'est du poireau cultivé, Allium porrum, dont il est question. Cet article ne traite que de ce dernier.
Le poireau commun est donc une plante herbacée bisannuelle de la famille des Liliacées, largement cultivée comme plante potagère pour ses feuilles (pseudo-tiges) consommées comme légumes.
Nom commun : poireau, porreau, poirée, poirette, asperge du pauvre, . de : Porree, Lauch, en : leek, es : puerro, poro.
Plusieurs études épidémiologiques ont démontré qu’une consommation élevée de légumes et de fruits diminuait le risque de maladies cardiovasculaires, de certains cancers et d’autres maladies chroniques. La présence d’antioxydants dans les légumes et les fruits pourrait jouer un rôle dans cette protection.
Le poireau contient :
Vitamine A, B6, B9, C, K, Cuivre, fer, manganèse
vendredi 21 novembre 2014
L'Hypotalamus
L'Hypothalamus est une structure du système nerveux central, située sur la face ventrale de l'encéphale. Cette partie du cerveau est constituée de plusieurs sous-structures, appelées noyaux. Ces noyaux sont des ensembles anatomiquement indépendants de neurones qui assurent diverses fonctions. L'une des fonctions les plus importantes de l'hypothalamus est de réaliser la liaison entre le système nerveux et le système endocrinien par le biais d'une glande endocrine : l'hypophyse.
Comme son nom l'indique, cet organe est situé en dessous du thalamus, juste au-dessus du tronc cérébral et forme la partie ventrale du diencéphale. Tous les vertébrés possèdent un hypothalamus. Chez l'homme il est à peu près de la taille d'une amande.
Grâce à ses connexions avec l'hypophyse, l'hypothalamus est responsable de plusieurs processus métaboliques et d'autres activités du système nerveux autonome. Il permet la synthèse et la sécrétion de neurohormones hypothalamiques dans la tige hypophysaire (ou tige pituitaire), qui à leur tour stimulent ou inhibent la sécrétion d'hormones hypophysaires. Il intervient ainsi dans la régulation du système nerveux autonome et des fonctions endocrines.
Il intervient également dans le contrôle d'une large gamme de fonctions corporelles comportementales, incluant la reproduction, la thermorégulation, le contrôle du rythme circadien ou encore la faim.
L’hypothalamus constitue un capteur et un centre intégrateur du corps : il intègre des stimuli périphériques (hormonaux et nerveux) et y répond par la modulation de la sécrétion des hormones hypothalamiques.
L'hypothalamus répond ainsi à divers facteurs comme :
- La lumière: la durée du jour et la photopériode régulent les rythmes circadiens et saisonniers.
- Les stimuli olfactifs, notamment les phéromones
- Les informations nerveuses provenant du cœur, de l'estomac et des organes reproducteurs
- Les influx du système nerveux autonome
- Les paramètres du sang comme les taux de leptine, ghreline, angiotensine, insuline, des hormones pituitaires et des cytokines, ainsi que la glycémie et l'osmolarité, etc.
- Les stéroïdes (corticostéroïdes), indicateur du stress
- Les invasions microbiennes auxquelles il répond par une élévation de la température générale du corps (élévation du thermostat)
C'est notamment grâce à la vasopressine, qui est libérée par l'hypothalamus « alerté » par l'hypophyse quand l'intensité lumineuse baisse le soir, que le corps se met à stocker l'eau (au lieu de remplir la vessie à partir des reins), de manière à conserver un niveau d'hydratation idéal du corps et de ses cellules durant le sommeil. En effet, les gens ne buvant pas durant le sommeil, l'organisme doit minimiser les pertes d'eau et rester suffisamment hydraté. Quand l'eau commence à manquer, des neurones osmosensibles activent d'autres neurones qui libèrent davantage de vasopressine dans le sang. Ce système est en partie régulé par l'horloge biologique interne de l'organisme.
C'est au sein de l'hypothalamus que s'effectue l'intégration de différents types de signaux permettant la régulation de l’appétit. Celle-ci se fait notamment en cohérence avec les besoins énergétiques et la quantité de masse graisseuse du corps. Les signaux - les inputs - sont à la fois des neurotransmetteurs classiques et des neuropeptides. L'effet sur l’appétit - l'output - passe ensuite par différentes voies de signalisation. Cette réponse de l'hypothalamus va agir sur de nombreuses structures cérébrales impliquées dans la mémoire, la motivation, la planification, la prise de décision, l'apprentissage, l'action et le contrôle moteur, qui sont l'ensemble des fonctions requises pour l'alimentation.
La partie latérale extrême du noyau ventromédial de l'hypothalamus est responsable du contrôle de la prise alimentaire. Une stimulation dans cette région provoque une augmentation de la prise de nourriture. Une lésion bilatérale de cette aire induit un arret complet de la prise de nourriture. De plus, la partie médiane de ce noyau contrôle l'activité de la partie latérale.
Ainsi, une lésion bilatérale à la partie médiane provoque une hyperphagie et une obésité chez l'animal. Lorsque chez le même animal la partie latérale est ensuite lésée, l'animal cesse de se nourrir. Ce qui montre que l'aire latérale est le centre de la prise de nourriture et qu'il est régulé négativement par l'aire médiane du noyau qui est le "centre de la satiété" pour éviter une continuelle sustentation.
Il existe différentes hypothèses concernant le mécanisme de cette régulation de la prise alimentaire :
Hypothèse lipostatique : Cette hypothèse suppose que le tissu adipeux produit un signal humoral qui est proportionnel à la quantité de graisse et agit sur l'hypothalamus pour diminuer la prise alimentaire et augmenter la dépense énergétique. Il a d'ailleurs été montré qu'une hormone, la leptine, agit sur l'hypothalamus pour provoquer cet effet dont le but est de diminuer la masse graisseuse du corps.
Hypothèse du peptide gastro-intestinal : Certaines hormones du système digestif, comme le Grp, le glucagon ou la cholecystokinine (CCK), semblent inhiber la prise alimentaire. Ce serait l'entrée d'aliment dans le tube digestif qui provoquerait la libération de ces hormones pour induire la sensation de satiété au niveau du cerveau. Celui-ci présente notamment des récepteurs à la CCK-A et la CCK-B.
Hypothèse glucostatique : l'activité du centre de la satiété situé dans le noyau ventromédial serait probablement gouvernée par l'utilisation du glucose par les neurones. Il a été postulé que lorsque cette utilisation du glucose est faible - lorsque les taux de glucose entre les artères (à l'entrée) et les veines (à la sortie) sont très peu différent-.
Hypothèse thermostatique
mercredi 19 novembre 2014
Lexique : Antitussif
Qui aide à arrêter la toux.
Le type d'antitussif adéquat dépend de la nature de la toux :
- Les toux sèches sont traitées par des suppresseurs de la toux (antitussifs) qui suppriment le besoin urgent de tousser.
- Les toux productives ou toux grasses (toux associées à des expectorations) sont traitées avec des expectorants, médicaments visant à produire et expulser le mucus de la trachée.
Les suppresseurs de la toux peuvent agir de façon centrale (sur le cerveau) ou locale (sur le tractus respiratoire) pour supprimer le réflexe de la toux.
Les suppresseurs centraux comprennent le dextrométhorphane, la noscapine, l'éthylmorphine et la codéine.
Les suppresseurs périphériques comprennent les anesthésiques locaux qui réduisent la sensation des nerfs de la gorge, et des adoucissants qui revêtent l'arrière de la gorge.
vendredi 14 novembre 2014
L'Energie Solaire
L'énergie solaire est l'énergie qui provient du rayonnement solaire, directement à travers l'atmosphère.
Sur Terre, l'énergie solaire est à l'origine du cycle de l'eau, du vent et de la photosynthèse réalisée par le règne végétal, dont dépend le règne animal via les chaînes alimentaires. L'énergie solaire est donc à l'origine de toutes les énergies sur Terre à l'exception de l'énergie nucléaire, de la géothermie et de l'énergie marémotrice.
L'Homme utilise l'énergie solaire pour la transformer en d'autres formes d'énergie : énergie alimentaire, énergie cinétique, énergie thermique, énergie électrique ou énergie de la biomasse. Par extension, l'expression « énergie solaire » est souvent employée pour désigner l'énergie électrique et l'énergie thermique obtenue à partir de cette dernière.
Dans l'espace, l'énergie des photons peut être utilisée, par exemple pour propulser une voile solaire.
L'énergie solaire vient de la fusion nucléaire qui se produit au centre du Soleil. Elle se propage dans le système solaire et dans l'Univers sous la forme d'un rayonnement électromagnétique — de photons.
Les techniques pour capter directement une partie de cette énergie sont disponibles et sont constamment améliorées. On peut distinguer le solaire passif, le solaire photovoltaïque et le solaire thermique.
Énergie solaire passive :
La plus ancienne et certainement la plus importante, quoique discrète, utilisation de l'énergie solaire consiste à bénéficier de l'apport direct du rayonnement solaire, c'est-à-dire l'énergie solaire passive. Pour qu'un bâtiment bénéficie au mieux des rayons du Soleil, on doit tenir compte de l'énergie solaire lors de la conception architecturale (façades doubles, surface vitrée orientée vers le Sud etc.). L'isolation thermique joue un rôle important pour optimiser la proportion de l'apport solaire passif dans le chauffage et l'éclairage d'un bâtiment.
Dans une maison solaire passive, l'apport solaire permet de faire des économies d'énergie importantes. L'habitat passif désigne un bâtiment dont les dépenses d'énergie de chauffage sont réduites d'environ 80 % par rapport à une maison neuve construite selon les normes allemandes d'isolation thermique de 1995, normes déjà très exigeantes. L'énergie solaire passive permet donc de chauffer, tout ou partie, d'un bâtiment pour un coût proportionnel quasi nul, en tirant partie des conditions d'un site et de son environnement, selon les principes de l'Architecture bioclimatique.
Énergie solaire thermique :
L'énergie solaire thermique consiste à utiliser la chaleur du rayonnement solaire. Ce rayonnement se décline de différentes façons :
en usage direct de la chaleur : chauffe-eau, chauffage solaire dont cuisinières et sécheuses solaires par exemple ;
en usage indirect, la chaleur servant pour un autre usage : rafraichissement solaire, centrales solaires thermodynamiques, , etc..
Énergie solaire thermodynamique :
Le solaire thermodynamique est une technique solaire qui utilise le solaire thermique pour produire:
soit de l'électricité, sur le même principe qu'une centrale électrique classique (production de vapeur à haute pression qui est ensuite turbinée).
soit directement un travail mécanique.
Le solaire mécanique concerne les appareils qui transforment un rayonnement (chaleur) solaire en mouvement mécanique qui pourra servir directement, soit être transformé en électricité. Le point commun à toutes les techniques est la concentration de l'énergie solaire via des concentrateurs solaires (héliostats, miroirs, etc.).
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