jeudi 29 août 2013

Géobiologie : Le réseau Hartman


Le réseau Hartmann, au même titre que le réseau Curry, fait partie du réseau cosmo-tellurique qui entourerait la Terre.

L'existence de ce réseau est une des théories de la géobiologie qui est l'étude des influences de l'environnement sur le vivant, et notamment des ondes liées aux champs magnétiques, courants d'eau souterrains, réseaux métalliques, failles géologiques, etc.

Les travaux sur le rayonnement tellurique ou rayonnement cosmo-tellurique relèvent de différentes approches en particulier de la recherche empirique pour trouver les causes de maladies ou de syndromes globaux pour lesquels aucune explication « locale » ne donne satisfaction.

Dans les années 1935, alors qu'il est encore étudiant en médecine à l’Université de Heidelberg en Allemagne, celui qui allait devenir le Docteur Ernst Hartmann émet l’hypothèse qu’un réseau quadrillé électromagnétique de courants dits telluriques couvrirait l’ensemble de la surface terrestre. Il aurait observé que certains lits d'un hôpital présentent une plus grande propension aux troubles de la santé que d'autres (mais sur cela, des tests statistiques rigoureux font défaut; par ailleurs, la date fournie pour ces observations place celle-ci à une date où Hartmann était étudiant en médecine, ce qui interdit de croire qu'il ait pu mener des expériences contrôlées sur le sujet). 

Après avoir inversé les lits, il en serait venu à émettre l'hypothèse que ce n’était pas le lit qui était en cause mais son emplacement. Il en vint donc à invoquer le rôle des ondes terrestres. 

En clair, si un patient en état critique se voit affecter le lit 2 alors il meurt alors qu’il aurait été sauvé sur les lits 1 et 3 – ceci en terme statistique (mais on ne sait sur quels échantillons statistiques validés une telle observation aurait pu être menée, et aucune expérience ne saurait être menée sur ce type d'issue).

Il postule alors l'existence des "murs d'ondes" verticaux d’une largeur de 21 cm orientés nord-sud et est-ouest, dits "ondes telluriques" (terme qui n'a pas le sens qu'il avait déjà en géophysique), et dont aucun instrument étalonné ne peut mettre l'existence en évidence. Leur intersection avec la surface du globe constituerait un maillage - traits bleus sur l'image.


Représentation d'un réseau Hartmann

Il couvre toute la surface terrestre. Il forme un immense filet plus ou moins régulier qui monte verticalement. Il n’est pas détectable au bord de la mer (présence du sel). Le réseau Hartmann comporte des plafonds espacés verticalement de 2,50 m. Il fait penser à un empilage de boîtes en carton. Il se resserre au voisinage des cours d’eau souterrains.

Une pierre placée sur un vortex déforme le réseau Hartmann. Son implantation peut se décaler latéralement jusqu’à 0,80 si le compteur électrique placé sur un nœud Hartmann est enclenché ou non.

Ses cloisons peuvent se dilater de 21 à 100 cm, 24 heures avant un tremblement de terre.

Ce phénomène résulte probablement de l’effet piézoélectrique dû à la compression des roches.

Un réseau H dont le tracé est régulier et dilaté témoigne d’une bonne qualité biotique.

Inversement, si le lieu est perturbé, il apparaît resserré et déformé. Le réseau Hartmann est sensible à l’électricité.

Précisons que l’intensité des rayonnements du réseau Hartmann varie suivants les heures de la journée, en fonction des positions de la lune et du soleil. Ø Le maximum se situe entre minuit et 2 heures du matin. Ø Le minimum se situe entre 5 et 7 heures puis entre 17 et 19 heures. Les cloisons Hartmann, donc leurs croisements, ne montent pas nécessairement verticalement, mais parfois de manière franchement oblique.

Un nœud Hartmann à la verticale d’un court d’eau sera plus agressif. Georges Prat associe ce réseau au Nickel. 

Le chat, les abeilles et les fourmis recherchent les nœuds « H » chaque metal ayant une resonnance magnetique, comme le corps humain.

Le nœud de Hartmann aurait la taille d'une assiette. Pour ceux qui croient à son existence, il ne s'agit donc pas de se protéger de l'ensemble des ondes mais de veiller à ne pas avoir son lit ni son poste de travail sur un nœud de Hartmann.

Selon cette théorie, la station prolongée sur un nœud de Hartmann provoquerait un affaiblissement de la zone du corps concernée et des fonctions corporelles qui en découlent. Soit l'organisme verrait directement diminuer ses capacités, soit il accueillerait des micro-organismes vecteurs d'une maladie secondaire.

Les mailles du réseau de Hartmann se resserreraient en particulier lorsqu’il y a une faille importante dans le sous-sol ce qui s’accompagnerait souvent de l'apparition d'un cours d’eau souterrain dit « vouivre ».

La présence de certains minerais entraînerait également une perturbation du réseau et augmenterait encore les effets nocifs des nœuds de Hartman.


Pour plus d'informations ou pour prendre rendez-vous, prenez contact : http://therapie-douce.lescigales.org

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire