mardi 30 décembre 2014

Les Urgences



Les urgences sont le service d'un hôpital qui s'occupe de recevoir les malades et les blessés qui se présentent d'eux-mêmes, ou qui sont amenés par les services de secours.

Dans la pratique, il existe tout un réseau mis en œuvre pour parer aux urgences médicales (dans toute la dimension bio-psycho-sociale du terme)

Comme tous les services constituant les fondements des "services publics" ils sont l'aboutissement de trois éléments qui vont déterminer son fonctionnement et son évolution : les conceptions philosophiques et scientifiques de l’urgence, les composantes socio-économiques (qui expliquent la nécessité de telles structures d’urgence et en limitent le coût) et l’organisation de ces structures préexistantes, leurs ressources, humaines et matérielles, et leur mode de fonctionnement.

Malgré des réflexions séculaires (Hippocrate essayait déjà de définir l’urgence au Ve siècle avant Jésus-Christ), il était intéressant de constater « l’absence de définition médicale ou administrative du terme urgence ».

L'urgence médicale peut cependant se définir comme: « La perception de toute situation empirant rapidement, ou susceptible de le faire, sans intervention médicale ou même avec ».
Dans la pratique des urgences pré-hospitalière, l’hétérogénéité du concept d’urgence

s’explique par sa variation selon quatre critères principaux :

- le flux des situations considérées comme urgentes : les priorités ne seront pas les mêmes selon que nous nous trouverons en face d’un cas isolé ou d’un afflux massif de blessés ;

- le type de problème rencontré : médicaux (« urgence vraie », tel un polytraumatisme, ou « urgence ressentie », à l’instar de fortes palpitations cardiaques) et/ou médico-sociaux (personnes âgées, peu insérées socialement, toxicomanes ou en état de détresse psychologique) ;

- la nécessité de prodiguer des soins techniques de qualité avec précocité : des cas de détresses graves (qui « ne représente qu’un faible pourcentage », malgré la racine grecque du terme urgence : urgens, signifiant pressée) ;

- la possession par le service mobile ou la proximité de matériels ou de structures adaptés à la situation (tel un plateau médico-technique).

Ainsi, les situations urgentes rencontrées sont très complexes. Au regard de la performance des nouvelles méthodes médicales de soins vis-à-vis du pronostic vital, la composante technique de la prise en charge de ces situations efface souvent le caractère unique de chacune d’elle.

Le « 112 » devient en juin 2008 le n° unique d’appel d’urgence - gratuit - en Europe (accessible de partout vers un opérateur qui traite l’appel (dont en anglais éventuellement dans 16 pays) en direct ou le réoriente vers un service d’urgence opportun. Ce numéro est accessible des téléphones fixes ou mobiles (même sans carte SIM dans le téléphone portable et même sans crédit dans le cas d'une carte prépayée) ou des cabines téléphoniques (même sans carte téléphonique).

vendredi 26 décembre 2014

Le son d'avoine


Avant utilisé pour les chevaux, le son d’avoine est devenu notre allié dans la lutte contre les kilos grâce à ses qualités de "mange graisses".

Encore peu connu il y a quelques années, le son d’avoine est devenu aujourd’hui un ingrédient indispensable aux alimentations spéciales minceur et aux régimes santé.

Avec des effets prouvés sur le taux de cholestérol en raison de sa teneur en béta-glucane, une fibre soluble hypocholestérolémiante, et des bienfaits reconnus pour affiner la silhouette, le son d’avoine, très médiatisé à travers le régime Dukan, semble plein de promesses…

Pris régulièrement, le son d'avoine possède des vertus amaigrissantes, selon le Dr Pierre Dukan, nutritionniste.

Pourquoi le son d'avoine aide à mincir ? Par sa double action, rassasiante et satiétogène. Riche en fibres solubles et en pectine, il possède la propriété d'absorber 30 fois son volume d'eau. En le consommant pendant les repas tout en buvant suffisamment, ses fibres se solubilisent, s'engorgent d'eau dans l'estomac et procurent un rapide rassasiement mécanique.

Autre atout : son action anti stockage calorique au niveau de l'intestin grêle. La haute viscosité du son le fait coller à tout ce qui l'entoure, notamment les nutriments et calories. Résultat, il les empêche de passer dans le sang et les entraîne avec lui directement dans les selles.

mardi 23 décembre 2014

Prévention des Fêtes



En ces moments de fêtes, il vaut mieux parfois être plus prudents que d’habitude.

Les numéros de téléphones utiles
Médical - 100    Police - 101    Pompiers - 100    Général – 112

N’oubliez pas de garder un Bob au volant et qu’il y a, pendant cette période de fêtes, beaucoup plus de contrôles routiers face à la consommation d’alcool et de drogues.

vendredi 19 décembre 2014

Lexique : Carminatif

Un aliment carminatif, du latin « carminare » qui signifie « carder la laine », transformé en latin médiéval en « carminativus » signifiant « disperser en grattant », d'où « purifier, nettoyer en éliminant », est un aliment qui favorise l'expulsion des gaz intestinaux, tout en réduisant leur production.

Parmi les plantes carminatives, on peut citer le gingembre, l'ail, la menthe poivrée, le fenouil, l'aneth odorant, l'anis vert, le basilic, la cardamome, le cerfeuil, la coriandre, l'estragon, l'hysope, la marjolaine, la noix de muscade, l'oignon, la sarriette, la sauge, le thym, l'angélique sauvage…

La gastronomie traditionnelle associe fréquemment ces plantes aux légumes secs tels que les haricots.

La phytothérapie associe les plantes cholérétiques et cholagogues (respectivement : qui favorisent la production de bile par la vésicule biliaire ; qui favorisent l'excrétion de la bile) aux plantes carminatives afin de soulager des troubles gastriques, notamment la constipation.

mercredi 17 décembre 2014

L'Endocrinologue



L'endocrinologie est la science de la médecine qui étudie les hormones.

Son nom signifie : la science (logos) de la sécrétion (crine) interne (endo).

Elle étudie de très nombreux phénomènes physiologiques, car les hormones interviennent dans de nombreuses fonctions chez tous les organismes dont l'Homme :

La nutrition : Avec des hormones régulatrices de la glycémie comme l'insuline et le glucagon,
la leptine qui régule les réserves de graisses dans l'organisme,
la ghréline qui stimule l'appétit, et la PYY-36 qui donne une sensation de satiété pendant plusieurs heures.

La croissance, avec les différentes hormones de croissance.

La reproduction : la puberté, mais aussi les cycles menstruels de la femme, la grossesse et la lactation (fabrication de lait).

la régulation de la température corporelle, avec les hormones thyroidiennes.

la régulation des cycles circadiens avec la mélatonine.

Chez certaines autres espèces animales, les hormones ont encore d'autres effets : le changement de sexe chez certains poissons, le changement de comportement chez les abeilles, la mue chez certains insectes (régulée par l'ecdysone)...

Les hormones sont un moyen pour notre corps de communiquer des informations à travers tout l'organisme, grâce principalement à des molécules transportées par le sang.

lundi 15 décembre 2014

Les nappes d'eau souterraines


Une nappe d'eau souterraine est une eau contenue dans les interstices ou les fissures d'une roche du sous-sol qu'on nomme aquifère. Seule l'eau libre, c'est-à-dire capable de circuler dans la roche fait partie de la nappe. Ce type de réservoir peut être exploité et peut approvisionner les réseaux de distribution d'eau potable, comme c'est le cas dans la majorité des communes françaises.

Le rapport de la nappe avec l'aquifère est le même qu'entre le contenu et son contenant.

Les nappes peuvent être contenues dans des aquifères de type poreux (sables, craie, graviers, grès, scories volcaniques, etc.)ou dit fissurés : l'eau est contenue et circule dans les failles, fissures ou diaclases de la roche (calcaires, granites, coulées volcaniques, etc.) En milieu karstique la roche peut présenter des conduits et grottes dans lesquels l'eau peut circuler beaucoup plus vite que dans les autres types d'aquifères.

Nappe libre :
Nappe en contact direct avec l'atmosphère, via une zone non saturée en eau.

Nappe fossile :
C'est une nappe qui ne se renouvelle plus, depuis un temps plus ou moins long (jusque plusieurs milliers d'années). Ces nappes sont exploitées dans les milieux désertiques. Dans ce type de cas, elles sont vouées à un épuisement inévitable.

Nappe captive :
Une nappe captive est une nappe généralement profonde et située entre deux couches imperméables. Elle est entièrement saturée d'eau sous pression. Elle jaillit lorsque l'on fait un forage et c'est ce qu'on appelle un puits artésien.

Surveillance des nappes :
Dans des fins de contrôle de la qualité de l'eau ou de surveillance des pollutions, il peut être nécessaire de prélever l'eau des nappes. Afin que les échantillons prélevés soient représentatifs, l'eau doit provenir du cœur de l'aquifère. On fait alors appel à des puits nommés piézomètres formé d'une crépine qui descend jusqu'au fond de la nappe.


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mercredi 10 décembre 2014

La Lampe Fluorescente


La lampe fluorescente, appelée également lampe fluorescente compacte (LFC) ou plus simplement lampe fluo-compacte, est une adaptation du tube industriel à un usage domestique. C'est un tube fluorescent émettant de la lumière, dont le tube est miniaturisé, plié en deux, trois ou quatre, ou encore enroulé, doté d'un culot contenant un ballast électronique.

Elles ont les mêmes avantages que les tubes fluorescents linéaires, à la différence près que le tube n'est souvent pas interchangeable.


Avantages :

La lampe à fluorescence présente plusieurs avantages par rapport à la lampe à incandescence classique :

- Un meilleur coefficient de performance : la lampe à incandescence a une efficacité de 14 à 25 lumens par watt, alors que la lampe fluorescente a une efficacité de l'ordre de 60 à 70 lumens par watt (ainsi une lampe fluorescente de 11 W produira le même éclairage qu'une lampe à incandescence de 40 à 60 W)

- Une durée de vie de six à quinze fois plus longue que la lampe à incandescence3 (soit 6 000 à 15 000 heures contre 1 000 heures). Toutefois, les durées de vie de la lampe à incandescence dépendent des choix faits par les producteurs lors de la conception ; il est assez facile de réaliser des ampoules à filament qui durent plusieurs années voire plusieurs décennies...

- Ainsi, bien que le prix d'achat soit supérieur à celui d'une lampe à incandescence, ses performances élevées en font un produit attractif à l'usage dès le premier achat pour le particulier. À l'échelle d'une nation, le bénéfice énergétique est important.
l'échauffement étant réduit, les risques de dégâts dus à la chaleur sont réduits proportionnellement (incendie, déformation des luminaires, etc.)
choix de la température de couleur


Inconvénients :

Les inconvénients des lampes basse consommation sont :

- Ces lampes sont particulièrement polluantes pour l'environnement en cas de rejet non contrôlé ou de casse à cause du mercure qu'elles contiennent. Elles sont considérées comme des déchets dangereux et doivent faire l'objet d'un recyclage spécifique.

- Elles sont peu adaptées à un usage extérieur, notamment en cas de températures négatives.

- Ces lampes ne sont pas forcément adaptées à certains contextes d'utilisation où le risque de bris est important (par exemple, les baladeuses) du fait que leur destruction accidentelle pourrait induire un risque pour la santé.

- L'allumage et l'extinction trop répétitifs de la lampe diminuent la durée de vie de celle-ci.

- Le rendu des couleurs (IRC), de l'ordre de 85, est moins bon que celui d'une lampe incandescente. Certaines couleurs sont déformées, car le spectre de la lumière n'est pas complet. Par exemple, le rendu de la couleur de la peau est altéré. Mais il existe des ampoules dites « lumière du jour » qui ont un bon rendu colorimétrique, mais rarement disponibles dans le commerce courant.

- En raison de l'absence quasi généralisée de circuits correcteurs de facteur de puissance dans la partie redresseur des ballasts électroniques incorporés dans leurs culots, ces lampes absorbent un courant très déformé, conduisant à un taux de distorsion harmonique pouvant atteindre 150 % et un facteur de puissance très inférieur à l'unité (de l'ordre de 0,5).

- Coût énergétique de fabrication bien supérieur à celle d'une lampe à incandescence notamment à cause du ballast dont cette dernière n'est pas pourvue.

- Le flux lumineux est alternatif à la fréquence double de celle du courant d'alimentation, comme pour les tubes fluorescents droits. Cet inconvénient peut produire une gêne oculaire, pouvant aller chez certains sujets sensibles jusqu'à la migraine.

- L'allumage répétitif de la lampe augmente la consommation d'électricité, car comme pour le tube fluorescent, c'est l'allumage qui nécessite le plus d'énergie. Cette lampe, contrairement au tube fluorescent choisi pour son moindre coût énergétique par les entreprises le laissant toujours allumé le temps du travail, est donc le plus souvent inadaptée aux besoins des résidences privées.

- Pour la majorité des lampes commercialisées, impossibilité d'utiliser un variateur de puissance.

- Les dimensions (diamètre extérieur et longueur) sont souvent différentes d'un fabricant à l'autre, et très souvent non compatibles avec les luminaires conçus initialement pour les ampoules à incandescence.

- Montée en puissance lumineuse souvent très lente après la mise sous tension (plusieurs dizaine de secondes pour obtenir 80 % de la puissance finale).

- Le spectre n'est pas lisse et présente des pics. Par conséquent la lumière produite ne semble pas confortable.


Comparaison des coûts :

Leur prix, comparé à celui des lampes fluorescentes classiques, n'est plus élevé comme avant.

Il a fortement diminué et on en trouve facilement de marque connue en 2011 aux alentours de 1 ou 2 euros la lampe de 15 W (équivalent lampe à incandescence de 60 W).

Un tel prix semble donc un investissement rentable : leur durée de vie est supérieure à celle des ampoules à filament (dont la durée de vie est souvent inférieure à1 000 heures) et consomment quatre à cinq fois moins d'électricité. Le retour sur investissement varie toutefois selon les performances plus ou moins avancées du modèle considéré.

EDF estime que les lampes basses consommation reviennent 2,5 fois moins cher que les lampes classiques en fonctionnement. Le retour sur investissement est bien réel et rapide ; il varie toutefois selon les performances plus ou moins avancées du modèle considéré.

À ce jour, on ne trouve pas de bilan énergétique complet (tenant compte de la fabrication et du recyclage) des lampes fluocompactes par les fabricants ou dans d'autres éditions touchant l’environnement, l’énergie etc. La fabrication d'une lampe fluocompacte consomme plus d'énergie que la fabrication d'une ampoule incandescente (mais elle dure plus longtemps), sans parler des produits polluants utilisés et donc de son recyclage. D'autre part, l'utilisation des ampoules dans les locaux d'habitation se faisant à environ 85 % du temps en période de chauffage, les kWh économisés dans l'éclairage doivent être compensés par le chauffage pour maintenir la température souhaitée. L'économie réelle est donc en pratique souvent illusoire surtout en cas de chauffage électrique. Le bilan énergétique réel est donc assez médiocre eu égard à la dégradation de confort visuel et des risques pour la santé et l'environnement imposés par cette technologie.


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vendredi 5 décembre 2014

Une aide en cas de trouble psychologique



Un choc ou un traumatisme sont des choses qui sont parfois, voir même souvent, difficile à vivre et qui peut nous apporter des blocages dans notre façon d’être et d’évoluer, voir des répercutions sur différentes parties de notre corps.

Le but de la thérapie énergétique est un travail qui permet le nettoyage des tensions et des mémoires au niveau du corps, vous permettant de retrouver une vie normale et ainsi progresser dans votre vie.

Vous avez vécu, vous n'oublierez pas votre traumatisme, mais par le soin énergétique, vous vous sentirez plus soulagée par rapport aux blocages que celui-ci aura provoqué en vous.

Cette thérapie n'est pas un traitement médical mais un accompagnement ou un travail en synergie avec celui-ci.
En aucun cas, arrêter votre traitement médical sans l’avis d’un médecin.


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mercredi 3 décembre 2014

J'ai vécu un choc, un trouble psychologique



Le traumatisme psychique (ou psychotraumatisme) est un terme désignant un type de dommage causé à la psyché après un événement traumatisant. Lorsque le traumatisme conduit à un trouble de stress post-traumatique, les dommages peuvent impliquer des changements chimiques cérébraux, changeant la réponse de l'individu à un futur stress.

Un événement traumatisant peut inclure une seule situation ou un ou plusieurs événements longs et répétés, qui peuvent complètement submerger la capacité de l'individu à intégrer les idées et émotions inculquées lors de cette expérience. Le traumatisme psychique peut conduire à de sérieuses conséquences négatives à long terme.

Le traumatisme peut être causé par une variété d'événements, mais il en existe que quelques aspects communes. Il y a fréquemment une violation des idées reçues de l'individu concernant le monde et des droits de l'homme, mettant ces individus dans un état de confusion extrême et d'insécurité.

Le traumatisme psychique peut s'accompagner d'un traumatisme physique. Les causes et dangers typiques du traumatisme psychique peuvent inclure - abus sexuel, harcèlements, violence conjugale, endoctrinement, victime de l'alcool, menace ou témoin d'un événement marquant, particulièrement durant l'enfance. Des événements naturels tels que les séismes et éruptions volcaniques, les guerres ou autres violences aggravantes peuvent également contribuer à un traumatisme psychique. Un exposition à long terme à des situations telles que la pauvreté ou autres formes d'agression, comme les agressions verbales, peuvent être traumatisantes.

Cependant, de différents individus peuvent réagir différemment aux événements similaires.

Un individu peut faire l'expérience d'un événement qui lui serait traumatisant alors qu'un autre individu peut ne pas souffrir d'un traumatisme lors du même événement.

Il existe aussi des formes de traumatisme plus courantes et que chacun a pu expérimenter. Par exemple l'accouchement (femme et enfant), ou encore les besoins naturels ou les évolutions physiologiques au cours de la vie d'un individu.

Lorsqu'il y a eu traumatisme psychique, des troubles peuvent apparaître de manière transitoire ou durable.

Pendant l’événement traumatique, le corps réagit : c’est la réaction très courte d’immobilité ou « freezing » du système parasympathique (sidération cognitive, affective et motrice), puis celle de fuite/combat du système sympathique (tachycardie, hyperventilation) pouvant se manifester par des comportements d'agitation, fuite panique, réactions mimétiques, voire des manifestations névrotiques (crise hystérique, phobie) ou psychotiques (délires, désorientation) chez des sujets prédisposés.

Une fois l’événement terminé, survient la phase de réaction du stress aigu (agitation, angoisse, souvenirs intrusifs, absence d’émotions…). Ce sont des réactions normales et naturelles après une expérience traumatique.

Les séquelles à long terme du trauma psychique consistent essentiellement en une dissociation binaire généralisée de la pensée et du comportement, qui fait osciller ceux-ci entre deux excès contraires, ce qui amène à la fois à des dichotomies cognitives radicales ( pensée binaire ou manichéenne ), et à des dissociations comportementales et pulsionnelles (qui sont prises pour une ambivalence constitutionnelle). Cela se traduit en clinique par des alternances ou alternatives de type impulsion / inhibition, auto-obligation / autointerdiction, compulsion irrépressible / blocage incoercible, etc...L'usage normal (adapté et auto-régulé) de la pulsion est désormais exclu ou impossible. La capacité à se défendre (l'usage du "non") étant perdue, c'est le corps qui dit non et qui refuse. C'est le symptôme qui est chargé de traduire la souffrance psychique ( principe de la somatisation). L'"incapacité à" de l'inhibition (névrose) est donc en réalité une "capacité à ne pas" (agir), tandis que réciproquement l'"incapacité à s'empêcher de" , qui caractérise l'impulsivité, est en réalité une "capacité à ne plus (subir)".

Ceci est particulièrement vrai des traumas sexuels infantiles (incestueux ou extrafamiliaux), qui sont responsables de l'immense majorité des symptômes d'inhibition, de compulsion et de perversion sexuelles, observés chez l'adulte, qu'il est possible de rattacher causalement au geste ou à l'acte de l'abuseur dans la plupart des cas.


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lundi 1 décembre 2014

Utile en cas de maladie contagieuse



En cas de maladie contagieuse, il est bon de protéger les autres.

Utiliser en diffusion atmosphérique un mélange d'huile essentielle de citronnier mélangée à de l'huile essentielle de mandarinier. Le citron va servir à assainir l'atmosphère de la pièce et le mandarinier aidera à garder calme et détente.

De l'huile essentielle de ravintsara peut aussi être utilisé en extérieur, en versant deux gouttes sur les poignets.

Si vous récoltez quand même les symptômes de la personne malade, n'hésitez pas à consulter votre médecin.


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