vendredi 28 novembre 2014

Cosmétique : Votre huile de massage sensuelle


Cosmétique : Votre huile de massage sensuelle

Comme huile de massage sensuelle, avec un agréable parfum et tout à fait comestible, l'huile de macadamia pur est idéale pour ce contact.
De plus, elle a un petit goût de noisette qui ne laisse pas indifférent.


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lundi 24 novembre 2014

Le Poireau


Poireau est un terme qui désigne plusieurs plantes du genre Allium dont Allium polyanthum, le poireau de vigne. Cependant, la plupart du temps, c'est du poireau cultivé, Allium porrum, dont il est question. Cet article ne traite que de ce dernier.

Le poireau commun est donc une plante herbacée bisannuelle de la famille des Liliacées, largement cultivée comme plante potagère pour ses feuilles (pseudo-tiges) consommées comme légumes.

Nom commun : poireau, porreau, poirée, poirette, asperge du pauvre, . de : Porree, Lauch, en : leek, es : puerro, poro.

Plusieurs études épidémiologiques ont démontré qu’une consommation élevée de légumes et de fruits diminuait le risque de maladies cardiovasculaires, de certains cancers et d’autres maladies chroniques. La présence d’antioxydants dans les légumes et les fruits pourrait jouer un rôle dans cette protection.

Le poireau contient :
Vitamine A, B6, B9, C, K, Cuivre, fer, manganèse

vendredi 21 novembre 2014

L'Hypotalamus




L'Hypothalamus est une structure du système nerveux central, située sur la face ventrale de l'encéphale. Cette partie du cerveau est constituée de plusieurs sous-structures, appelées noyaux. Ces noyaux sont des ensembles anatomiquement indépendants de neurones qui assurent diverses fonctions. L'une des fonctions les plus importantes de l'hypothalamus est de réaliser la liaison entre le système nerveux et le système endocrinien par le biais d'une glande endocrine : l'hypophyse.

Comme son nom l'indique, cet organe est situé en dessous du thalamus, juste au-dessus du tronc cérébral et forme la partie ventrale du diencéphale. Tous les vertébrés possèdent un hypothalamus. Chez l'homme il est à peu près de la taille d'une amande.

Grâce à ses connexions avec l'hypophyse, l'hypothalamus est responsable de plusieurs processus métaboliques et d'autres activités du système nerveux autonome. Il permet la synthèse et la sécrétion de neurohormones hypothalamiques dans la tige hypophysaire (ou tige pituitaire), qui à leur tour stimulent ou inhibent la sécrétion d'hormones hypophysaires. Il intervient ainsi dans la régulation du système nerveux autonome et des fonctions endocrines.

Il intervient également dans le contrôle d'une large gamme de fonctions corporelles comportementales, incluant la reproduction, la thermorégulation, le contrôle du rythme circadien ou encore la faim.

L’hypothalamus constitue un capteur et un centre intégrateur du corps : il intègre des stimuli périphériques (hormonaux et nerveux) et y répond par la modulation de la sécrétion des hormones hypothalamiques.



L'hypothalamus répond ainsi à divers facteurs comme :
- La lumière: la durée du jour et la photopériode régulent les rythmes circadiens et saisonniers.
- Les stimuli olfactifs, notamment les phéromones
- Les informations nerveuses provenant du cœur, de l'estomac et des organes reproducteurs
- Les influx du système nerveux autonome
- Les paramètres du sang comme les taux de leptine, ghreline, angiotensine, insuline, des hormones pituitaires et des cytokines, ainsi que la glycémie et l'osmolarité, etc.
- Les stéroïdes (corticostéroïdes), indicateur du stress
- Les invasions microbiennes auxquelles il répond par une élévation de la température générale du corps (élévation du thermostat)

C'est notamment grâce à la vasopressine, qui est libérée par l'hypothalamus « alerté » par l'hypophyse quand l'intensité lumineuse baisse le soir, que le corps se met à stocker l'eau (au lieu de remplir la vessie à partir des reins), de manière à conserver un niveau d'hydratation idéal du corps et de ses cellules durant le sommeil. En effet, les gens ne buvant pas durant le sommeil, l'organisme doit minimiser les pertes d'eau et rester suffisamment hydraté. Quand l'eau commence à manquer, des neurones osmosensibles activent d'autres neurones qui libèrent davantage de vasopressine dans le sang. Ce système est en partie régulé par l'horloge biologique interne de l'organisme.

C'est au sein de l'hypothalamus que s'effectue l'intégration de différents types de signaux permettant la régulation de l’appétit. Celle-ci se fait notamment en cohérence avec les besoins énergétiques et la quantité de masse graisseuse du corps. Les signaux - les inputs - sont à la fois des neurotransmetteurs classiques et des neuropeptides. L'effet sur l’appétit - l'output - passe ensuite par différentes voies de signalisation. Cette réponse de l'hypothalamus va agir sur de nombreuses structures cérébrales impliquées dans la mémoire, la motivation, la planification, la prise de décision, l'apprentissage, l'action et le contrôle moteur, qui sont l'ensemble des fonctions requises pour l'alimentation.



La partie latérale extrême du noyau ventromédial de l'hypothalamus est responsable du contrôle de la prise alimentaire. Une stimulation dans cette région provoque une augmentation de la prise de nourriture. Une lésion bilatérale de cette aire induit un arret complet de la prise de nourriture. De plus, la partie médiane de ce noyau contrôle l'activité de la partie latérale.

Ainsi, une lésion bilatérale à la partie médiane provoque une hyperphagie et une obésité chez l'animal. Lorsque chez le même animal la partie latérale est ensuite lésée, l'animal cesse de se nourrir. Ce qui montre que l'aire latérale est le centre de la prise de nourriture et qu'il est régulé négativement par l'aire médiane du noyau qui est le "centre de la satiété" pour éviter une continuelle sustentation.

Il existe différentes hypothèses concernant le mécanisme de cette régulation de la prise alimentaire :

Hypothèse lipostatique : Cette hypothèse suppose que le tissu adipeux produit un signal humoral qui est proportionnel à la quantité de graisse et agit sur l'hypothalamus pour diminuer la prise alimentaire et augmenter la dépense énergétique. Il a d'ailleurs été montré qu'une hormone, la leptine, agit sur l'hypothalamus pour provoquer cet effet dont le but est de diminuer la masse graisseuse du corps.

Hypothèse du peptide gastro-intestinal : Certaines hormones du système digestif, comme le Grp, le glucagon ou la cholecystokinine (CCK), semblent inhiber la prise alimentaire. Ce serait l'entrée d'aliment dans le tube digestif qui provoquerait la libération de ces hormones pour induire la sensation de satiété au niveau du cerveau. Celui-ci présente notamment des récepteurs à la CCK-A et la CCK-B.

Hypothèse glucostatique : l'activité du centre de la satiété situé dans le noyau ventromédial serait probablement gouvernée par l'utilisation du glucose par les neurones. Il a été postulé que lorsque cette utilisation du glucose est faible - lorsque les taux de glucose entre les artères (à l'entrée) et les veines (à la sortie) sont très peu différent-.

Hypothèse thermostatique

mercredi 19 novembre 2014

Lexique : Antitussif




Qui aide à arrêter la toux.

Le type d'antitussif adéquat dépend de la nature de la toux :

- Les toux sèches sont traitées par des suppresseurs de la toux (antitussifs) qui suppriment le besoin urgent de tousser.

- Les toux productives ou toux grasses (toux associées à des expectorations) sont traitées avec des expectorants, médicaments visant à produire et expulser le mucus de la trachée.

Les suppresseurs de la toux peuvent agir de façon centrale (sur le cerveau) ou locale (sur le tractus respiratoire) pour supprimer le réflexe de la toux.

Les suppresseurs centraux comprennent le dextrométhorphane, la noscapine, l'éthylmorphine et la codéine.

Les suppresseurs périphériques comprennent les anesthésiques locaux qui réduisent la sensation des nerfs de la gorge, et des adoucissants qui revêtent l'arrière de la gorge.

vendredi 14 novembre 2014

L'Energie Solaire



L'énergie solaire est l'énergie qui provient du rayonnement solaire, directement à travers l'atmosphère.

Sur Terre, l'énergie solaire est à l'origine du cycle de l'eau, du vent et de la photosynthèse réalisée par le règne végétal, dont dépend le règne animal via les chaînes alimentaires. L'énergie solaire est donc à l'origine de toutes les énergies sur Terre à l'exception de l'énergie nucléaire, de la géothermie et de l'énergie marémotrice.

L'Homme utilise l'énergie solaire pour la transformer en d'autres formes d'énergie : énergie alimentaire, énergie cinétique, énergie thermique, énergie électrique ou énergie de la biomasse. Par extension, l'expression « énergie solaire » est souvent employée pour désigner l'énergie électrique et l'énergie thermique obtenue à partir de cette dernière.

Dans l'espace, l'énergie des photons peut être utilisée, par exemple pour propulser une voile solaire.

L'énergie solaire vient de la fusion nucléaire qui se produit au centre du Soleil. Elle se propage dans le système solaire et dans l'Univers sous la forme d'un rayonnement électromagnétique — de photons.

Les techniques pour capter directement une partie de cette énergie sont disponibles et sont constamment améliorées. On peut distinguer le solaire passif, le solaire photovoltaïque et le solaire thermique.


Énergie solaire passive :

La plus ancienne et certainement la plus importante, quoique discrète, utilisation de l'énergie solaire consiste à bénéficier de l'apport direct du rayonnement solaire, c'est-à-dire l'énergie solaire passive. Pour qu'un bâtiment bénéficie au mieux des rayons du Soleil, on doit tenir compte de l'énergie solaire lors de la conception architecturale (façades doubles, surface vitrée orientée vers le Sud etc.). L'isolation thermique joue un rôle important pour optimiser la proportion de l'apport solaire passif dans le chauffage et l'éclairage d'un bâtiment.
Dans une maison solaire passive, l'apport solaire permet de faire des économies d'énergie importantes. L'habitat passif désigne un bâtiment dont les dépenses d'énergie de chauffage sont réduites d'environ 80 % par rapport à une maison neuve construite selon les normes allemandes d'isolation thermique de 1995, normes déjà très exigeantes. L'énergie solaire passive permet donc de chauffer, tout ou partie, d'un bâtiment pour un coût proportionnel quasi nul, en tirant partie des conditions d'un site et de son environnement, selon les principes de l'Architecture bioclimatique.


Énergie solaire thermique :

L'énergie solaire thermique consiste à utiliser la chaleur du rayonnement solaire. Ce rayonnement se décline de différentes façons :
en usage direct de la chaleur : chauffe-eau, chauffage solaire dont cuisinières et sécheuses solaires par exemple ;
en usage indirect, la chaleur servant pour un autre usage : rafraichissement solaire, centrales solaires thermodynamiques, , etc..


Énergie solaire thermodynamique :

Le solaire thermodynamique est une technique solaire qui utilise le solaire thermique pour produire:
soit de l'électricité, sur le même principe qu'une centrale électrique classique (production de vapeur à haute pression qui est ensuite turbinée).
soit directement un travail mécanique.
Le solaire mécanique concerne les appareils qui transforment un rayonnement (chaleur) solaire en mouvement mécanique qui pourra servir directement, soit être transformé en électricité. Le point commun à toutes les techniques est la concentration de l'énergie solaire via des concentrateurs solaires (héliostats, miroirs, etc.).

mercredi 12 novembre 2014

La Goutte




La goutte est une maladie chronique fréquente liée au métabolisme de l'acide urique, dont la manifestation clinique la plus caractéristique est une monoarthrite aiguë du gros orteil. Elle est associée, bien que de façon inconstante, à une augmentation du taux circulant d'acide urique (hyperuricémie). Son évolution sans traitement se fait vers le dépôt d'acide urique dans plusieurs sites de l'organisme avec une prédilection pour les articulations (arthrite goutteuse), la peau (tophus) et les reins (néphropathie uratique), conduisant au maximum à des destructions articulaires invalidantes et à une insuffisance rénale terminale potentiellement fatale.

La cause exacte de la goutte reste inconnue. Une composante génétique est probable du fait de la fréquence des formes familiales et de la prévalence chez les sujets de sexe masculin, mais les facteurs environnementaux jouent un rôle non négligeable dans sa survenue : surpoids, consommation régulière d'alcool, alimentation riche en purines (viande rouge et abats notamment). Cependant, toutes les causes d'hyperuricémie ne sont pas des causes de goutte (il y a dans la population un sujet goutteux pour dix sujets hyperuricémiques).
La prise en charge thérapeutique de la goutte comprend un volet symptomatique (soulagement des crises par les anti-inflammatoires non stéroïdiens ou par la colchicine) et un traitement de fond (règles hygiéno-diététiques et dans certains cas médicaments hypo-uricémiants).

La goutte est due à une cristallisation d'acide urique. Son origine est multiple. D'une part, il est le déchet formé par la dégradation des purines. En temps normal, elles sont synthétisées à partir du ribose-5-phosphate qui est transformé au bout de plusieurs réactions en acide inosinique, porteur d'un noyau purique. Cet acide entre alors dans un cycle long qui conduit à la synthèse d'adénine ou de guanine, composants de l'ADN. Ces derniers pourront être dégradés plus tard en xanthine, puis, grâce à la xanthine oxydase, en acide urique, que le rein élimine dans les urines. Comme la synthèse d'acide inosinique dépasse largement les besoins de l'organisme, il existe aussi un cycle court où cette molécule est directement dégradée en xanthine. La goutte peut provenir d'un emballement du cycle court qui aboutit à un excès d'acide urique dans le sang.

D'autre part, il peut provenir de la dégradation des nucléotides puriques (adénine et guanine) présents dans les cellules. Cela explique pourquoi une goutte peut se déclencher lorsque de nombreuses cellules sont détruites, par exemple pendant un traitement anticancéreux. Enfin, les nucléotides puriques présents dans l'alimentation subissent le même sort que ceux de l'organisme. C'est pourquoi la goutte est plus fréquente chez les bons vivants, qui consomment beaucoup d'aliments riches en purines (viande, crustacés, etc.).

Il existe une maladie génétique rare, le syndrome de Lesch-Nyhan, où le déficit d'une enzyme, l'hypoxanthine-guanine-phosphoribosyltransférase, conduit également à un emballement du cycle court, mais de façon plus sévère. Ce syndrome apparaît dans l'enfance et est caractérisé par une maladie goutteuse et un retard mental ainsi qu'une tendance à l'automutilation.

Cependant, les gouttes par excès de production d'acide urique ne représentent qu'une minorité. La plupart du temps, le taux élevé de cette substance dans le sang (hyperuricémie) est dû, soit à une insuffisance rénale, le rein n'étant plus capable d'éliminer correctement les déchets, soit à un défaut d'élimination rénale d'origine génétique. Souvent, une crise de goutte est déclenchée par la prise d'un médicament (notamment un diurétique). Celui-ci entre en compétition avec l'acide urique : Le rein ne peut pas éliminer les deux substances à la fois, car elles ont des propriétés chimiques semblables. Du coup la quantité d'acide urique éliminé diminue et il s'accumule dans le sang.

Lorsque l'hyperuricémie devient importante, l'acide urique risque de précipiter sous forme de cristaux. Cela se produit au niveau des articulations, surtout les plus froides et les plus soumises à des traumatismes microscopiques, c'est-à-dire principalement le gros orteil.

vendredi 7 novembre 2014

Encyclopédie : Les mémoires du Corps




Le corps humain est composé d'atomes qui sont maintenus ensembles par la force du magnétisme d'un corps. Ensembles, ils composent aussi différentes mémoires énergétiques, qui permet à chaque partie du corps, de savoir à quoi il correspond et comment il doit servir.

En plus des mémoires cellulaires, notre corps contient aussi les mémoires de notre vécu, qui sont stockés à un endroit du corps et traduit pas nos différents points énergétiques.

Nos points énergétiques sont en relations avec notre façon d'être qui nous sommes et donc, quand nous mémorisons un choc ou un traumatisme, celui-ci peut, par l'intermédiaire des énergies, se répercuter par des blocages psychologiques ou différents problèmes de santé à répétition.

Comme le négatif se marque sur nos énergies, les mémoires positives font de même et c'est elles qui nous permettent de continuer notre évolution dans notre vie.

Donc ne laisser pas vos mémoires négatives prendre le pas sur vous, aidez vous, soit par l'intermédiaire d'un psy qui vous aidera par vous même à trouver la solution, soit par l'intermédiaire d'un thérapeute en soins énergétiques qui soulagera vos tensions et vos mémoires énergétiques.


Pour plus d'informations ou pour prendre rendez-vous, prenez contact : http://therapie-douce.lescigales.org

lundi 3 novembre 2014

Géobiologie : Le Réseau Curry



Le réseau Curry est un réseau énergétique naturel émis par la terre.

Ces "bandes" émettent une énergie tellurique positive ou négative qui est souvent très nocive pour l'organisme aux croisements de ces mailles.

Cette nocivité est accrue lorsque les croisements se conjugent avec un cours d'eau ou une faille.

Il en résulte des problèmes de santés qui vont de la nervosité et de l'insomnie au cancer.

C'est pour cette raison qu'il faut éviter de séjourner trop régulièrement sur ce genre de points (lit, bureau, fauteuil...)


Nous pouvons constater ce genre de problème dans la nature. Parfois certains arbres sont bosselés, vrillés, tordus, il on poussés sur un point géopathogène et en subissent les conséquences.

Il est orienté à 45° par rapport aux 4 points cardinaux :
 Nord/Est – Sud/Ouest et Nord/Ouest – Sud/Est.

La distance entre les cloisons qui le constituent varie entre 3,50m et 8 m voir davantage. (4,50m en moyenne dans les deux sens). L’épaisseur de ces murs invisibles varie entre 40 et 50 cm ou plus.

Il est de nature magnétique. Il se déforme au gré de la distribution des masses métalliques qu’il rencontre sous réserve que celles-ci contiennent du fer ou des aimants.

Ainsi une cloison ou un nœud Curry traverse toujours la plaque de cheminée.

C’est principalement parce que ce réseau est entrainé par les masses ferromagnétiques qu’il n’est pas bon de dormir au dessus d’un garage.
  
On retrouvera des cloisons ou nœuds Curry au voisinage de :

- Plaque cheminée
- Concentration d’argenterie
- Regroupement d’outils de jardin.
- Contrepoids métallique de porte de garage.
- Banc de musculation.
- Automobile
- Autre engin métallique.

La superposition d’un nœud Hartmann (article sur le réseau Hartmann en mois passé) de nature électrique et d’un nœud Curry de nature magnétique constitue un « point « étoile » qui perturbe grandement le fonctionnement des cellules , organes ou glandes endocrines.

Les nœuds Curry se décalent vers l’ouest en montant les étages.


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